Damien (24) Abidjan Lamine (5)
Quand je repris conscience je vis Lamine assis dans le fauteuil, son sexe à demi flaccide, maculé de sécrétion séminales et marbré de traînées brunes, reposait sur sa cuisse tel un gros ver.
Je souris à mon amant et il me dit "Ca y est tu es réveillée
ma petite pute.
- Oui tu m'as superbement enculé, j'adore me faire baiser par
une bite bien dure.
- J'ai vu, c'est vrai salope que tu as un cul extraordinaire.
- Merci mais tu sais toi aussi tu es extraordinaire, tu m'as
baisé comme un dieu, j'ai joui comme une folle.
- Je l'ai bien vu.
- C'est vrai que tu m'as bien cassé le cul.
- Je t'assure moi je vois ton trou il est tout ouvert.
- Je ne le vois pas mais je le sens tu sais.
- Bien, mais j'en ai pas encore fini avec ton trou du cul,
viens assieds-toi face à moi".
Je me levai, je sentais le sperme couler le long de mes cuisses.
Je mis mes jambes de chaque côté de celles de mon amant et je m'assis sur lui.
Quand son priape roide buta contre ma raie trempée de sève, Lamine glissa une main entre nous et guida sa virilité contre mon tunnel intime.
Dans l'état où était mon orifice le pénis entra dans mon fondement comme dans du beurre.
Sentir le membre érigé me pénétrer me fit soupirer d'aise.
Une fois bien en moi mon amant prit mes bras et les posa sur ses épaules puis il me saisit à la nuque et approcha mon visage du sien.
Ses lèvres écrasèrent les miennes, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Pendant que sa langue fouillait ma bouche mon homme commença à donner de petits coups de reins.
L'uvre combinée de sa bouche explorant la mienne et de sa bite coulissant dans mon canal firent renaître en moi un fort désir et je commençai à onduler en cadence.
Tout en continuant à me butiner la bouche mon mec plaça ses mains autour de ma taille et commença à me faire monter et descendre lentement sur sa bite turgescente.
Ces lents mouvements de va et viens me firent monter d'un cran dans le plaisir, je sentis le rouge gagner mes joues et un langoureux gémissement s'échappa de ma gorge.
Longtemps Lamine me posséda de la sorte, sentir la superbe hampe me pistonner était un délice, je sentais le désir envahir tout mon être.
Soudain mon amant commença à donner des coups de reins plus violents chaque fois qu'il m'empalait totalement, ses coups de boutoir brutaux se répercutaient dans tout mon corps.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le bien-être qui montait en moi par vagues successives.
Mon homme avait lové son visage dans le creux de mon épaule et, les mains crispées dans la chair tendre de mes hanches, me bourrait de plus en plus violemment.
Tout à ma félicité je tanguais tel un pantin désarticulé entre les bras de mon mec.
Chaque fois que le fabuleux membre plongeait au plus profond de mon anus en fusion, m'ouvrant un peu plus le cul à chaque poussée, je me sentais partir.
Les assauts que je subissais était si vigoureux que mes pieds décollaient de terre à chaque enfilade, mon cul élargi au maximum faisait des bruits de succion chaque fois qu'il happait la merveilleuse pine qui m'amenait au septième ciel.
Je ne savais pas depuis combien de temps Lamine me baisait de la sorte, je planais littéralement sous ses coups de bite redoublés et la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer.
Soudain mon amant se leva me portant à bout de bras, sans que nos corps ne se dessoudent, il me déposa dans le fauteuil.
J'avais le dos reposant sur le siège, mon homme replia mes jambes vers mon torse de telle sorte à ce que mon trou de balles ressorte puis il se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle de toute la longueur de son phallus démesuré.
Le résultat ne se fit pas attendre, sous les rudes bourrades que j'endurais je me mis à rouler des hanches tout en tendant ma croupe enfiévré vers le magnifique priape que me démolissait le derche me portant au paroxysme du bonheur.
J'avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi le splendide sexe qui me perforait m'alésant de plus en plus le tunnel.
Perdant toute retenue je me mis à hurler tous les stades de la volupté par lesquels mon doux tourmenteur me faisait passer.
A cet instant se plaquant contre mes fesses embrasées, Lamine déchargea au fond de mon cul en feulant.
Un abondant flot de semence épaisse m'inonda le rectum me déclenchant un somptueux orgasme, mon corps s'arqua, je tendis mon postérieur vers la bite qui continuait de couler en moi, un hurlement aigu pulsa de ma gorge puis je retombai lourdement dans le fauteuil.
Je sentis la hampe sortir de mon tunnel intime et je restai immobile, yeux clos et cuisses écartées savourant l'excellent moment qui venait de se passer.
Quand je revins à la réalité mon amant me regardait en souriant, son membre flaccide maculé de sécrétions anales et séminales pendait entre ses cuisses.
Je sentais entre mes fesses le sperme couler sur le fauteuil et je dis à mon homme "Tu m'as tellement inondé que je suis en
train de salir ton fauteuil.
- Pas grave, c'est du plastique.
- Qu'est-ce que tu m'as mis.
- Oh oui et je n'ai pas encore terminé avec ton cul de
salope, allez vas sur la serviette et allonge-toi sur le
dos que je t'en mette encore un bon coup dans ton trou du
cul de sale pute, écarte bien les cuisses et tends ton
cul".
Je commençai à avoir l'anus douloureux et tout endolori mais je voulais tellement me faire baiser que je ne dis pas la moindre parole, je m'allongeai sur la serviette et écartai les cuisses attendant le mâle telle la salope que j'étais.
Lamine sourit et me dit "Vraiment avec toi pas de problème on
te dit de te coucher et tu te couches, tu es vraiment une
pute, je vais encore bien éclater ton cul de pédale".
Mon amant s'allongea sur moi et me pénétra d'un violent coup de reins me faisant gémir, cet après-midi là mon homme m'encula pendant trois heures sans jamais sortir de mon cul, quand enfin il m'abandonna j'étais perclus de douleur et j'avais l'impression que mon trou du cul était à vif tant il me faisait souffrir.
Je remis mon maillot et tant bien que mal je rentrai à mon hôtel où je pris une très longue douche puis je me couchai et m'endormis d'un profond sommeil.
Pendant mon séjour, chaque jour je retrouvai Lamine à la plage et chaque jour il m'enculait tout l'après-midi.
Une semaine avant mon départ il me dit qu'il partait dans l'arrière pays, il me souhaita bonne chance et partit après m'avoir démoli encore une fois la corolle.
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